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L'éternel combat

43 ans après...

Aujourd'hui, nous sommes pratiquement toujours dans la même situation à l'exception de quelques postes du dommages prisent en charge par le responsable. Grâce à la grève de la faim de ma mère, où il y a eu un protocole d'accord, vingt ans après un avenant au protocole a eu lieu grâce à Mr Maillard qui a opté pour une aide pour ma prise en charge à domicile. Cette prise en charge dont je bénéficie est accordé à tous citoyens via les PC comme exactement monsieur et madame tout le monde.

Au quotidien, nous rencontrons des obstacles causés par des nouvelles assistantes sociales qui comprennent difficilement pourquoi nous avons cette prise en charge car l'Etat de Vaud n'a jamais été clair dans son engagement.

Je suis une citoyenne où les assurances sociales accordent une aide avec tous les désagréments de contrôle et exigences administratives qui demandent énormément de travail pour mes parents.

En aucun cas, cette prise en charge ne ressemble à une réparation personnalisée pour mon cas. Depuis lors, ma mère a compris que la réparation en nature signifie de ne rien avoir à payer tel que une RC aurait dû le faire.

L'avenir économique est toujours en souffrance. Et 43 ans après, nous attendons prochainement une approche des tribunaux qui concerne la responsabilité des avocats qui ont traité ce dossier.
 

"[...] L'arrêt du tribunal fédéral stipule que ce mode de réparation n'est toutefois admissible que si la solvabilité et la crédibilité du débiteur ne peuvent pas être remises en cause, ne serait-ce que pour éviter que l'exécution ne fasse surgir de nouvelles difficultés.[...]"

Extrait de l'émission Duel,2002, Maître Poggia

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